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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston
John Adama
Expérience :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 8JaYqyB0 / 2500 / 250John Adama - Patriotisme, désillusion et baston NgcHQAW

Points de vie :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston AshM7ej0 / 1500 / 150John Adama - Patriotisme, désillusion et baston Gjq2sIf

Niveau : Niv. 1
Espace inventaire : 0/12
Gilet Tactique : N/A
Composants électroniques : Filtre à Air de niveau 1
Sacs : N/A
Précision :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 1ZNHYzi0 / 100 / 10John Adama - Patriotisme, désillusion et baston DRoOKTW

Médicaments : N/A
Métal réutilisable : N/A
Objet Secondaire : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Equipement 1 : N/A
Equipement 2 : N/A
Equipement 3 : N/A
Equipement 4 : N/A
Equipement 5 : N/A
Equipement 6 : N/A
Equipement 7 : Kit de Soin
Equipement 8 : N/A
Equipement 9 : Kit de Soin
Equipement 10 : N/A
Equipement 11 : N/A
Equipement 12 : N/A
Arme primaire en main : M- M249
Mod : Skin : test
Mod : Optique : ACC - Aucun
Mod : Chargeur : ACC- Aucun
Mod : Poignée : POIGNÉE- Aucune
Mod : Bouche : DEVANT- Aucun
Mod : Autre : SOUS- Aucun
Arme au corps à corps : M- Couteau de Cuisine
Arme secondaire en main : S- AUCUNE ARME
Arme dans l'inventaire : I- Mac 11
Munitions 1 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Munitions 2 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Munitions 3 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Competence 1 : N/A
Competence 2 : N/A
Competence 3 : Aucune Compétence Active
Compétence 4 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Crédits avatar/images :
Messages : 25
Date d'inscription : 01/09/2017
Survivant du bunker
John Adama
Ven 1 Sep - 22:42

Identité
Personnage:
Spécialité: Unité Assaut
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 8JaYqyB0 / 2500 / 250John Adama - Patriotisme, désillusion et baston NgcHQAW
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston AshM7ej0 / 1500 / 150John Adama - Patriotisme, désillusion et baston Gjq2sIf
Niv. 10/12N/AFiltre à Air de niveau 1N/A
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N/AN/AJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSN/AN/AN/AN/AN/AN/AKit de SoinN/AKit de SoinN/AN/AN/AM- M249testACC - AucunACC- AucunPOIGNÉE- AucuneDEVANT- AucunSOUS- AucunM- Couteau de CuisineS- AUCUNE ARMEI- Mac 11John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSN/AN/AAucune Compétence ActiveJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS 2501/09/2017
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John Adama
Outsider
Nom : Adama
Prénom : John
Date et lieu de naissance : Denver, dans le Colorado, le 25 juin 1989

Taille : 1m89
Poids : 90 kg
Peau : Blanc
Cheveux : Noirs avec quelques cheveux gris par-ci par-là, mi-longs. Il a une fâcheuse tendance à se contenter de les ramener négligemment en arrière en guise de coiffure.
Yeux : Marrons
Signe particulier : Un griffon tatoué sur l’omoplate droite. Diverses cicatrices plus ou moins longues sur le torse, les bras et le bas du dos. Image du griffon

Fonction : Ranger
Remarque : Il peut se montrer un peu rude ou distant au début, surtout envers les personnes incapables de faire leur boulot correctement.
PSYCHOLOGIE :
Tête brûlée. Bourrin. Connard. Gars sûr. Tant d’adjectifs ou de noms qui ont autrefois été attribué à John, tout au long de sa vie. Mais qui est-il en réalité ? John, avant tout, est un soldat. Le genre de personne férue de combat, toujours prêt à prendre la première ligne du combat. La plupart du temps, il préfèrera se la coincer, laissant les autres discuter à sa place, se concentrant sur l’action plutôt que sur la parlote. Cela dit, s’il a quelque chose à vous dire, il n’ira pas par quatre chemins. C’est son côté un peu trop direct. S’il vous prend l’idée de paniquer ou de faire n’importe quoi en mission, il n’hésitera pas à venir vous décrocher quelques tartes, tout en vous agrémentant d’insultes divers et variées, entrainant la plupart du temps la remise en cause du métier de votre mère. Un homme charmant, pas vrai ?

Mais en dehors de son aspect brute et malpoli, John reste avant tout un homme fidèle et efficace. Bien que préférant souvent rester en retrait dans les relations sociales, il sera toujours prêt à intervenir pour aider ses alliés en cas de besoin. C’est ce genre de personne qui, si vous vous montrez assez digne de confiance envers lui, ne vous laissera pas tomber quand les emmerdes commenceront à tomber.

Malgré tout cela, si vous arrivez à le prendre correctement, John se montra fort sympathique et toujours prêt à boire ou à rire un bon coup. Mais, dans le monde où nous vivons, ce genre d’occasions existent-elles encore ?...


HISTOIRE :
J’ai pas une histoire passionnante vous savez. D’ailleurs j’sais même pas pourquoi vous vous intéressez à moi. J’ai d’autres choses à foutre, et vous aussi certainement. Vous insistez ? Bon… Très bien.

J’suis né d’un père inconnu et d’une mère certainement prostituée, dans les faubourgs de Denver, au Colorado. Tout bébé, j’ai été envoyé en orphelinat, puis rapidement placé en foyer d’accueil. Un vrai calvaire pour un gamin. Dès ton enfance, t’apprends à te faire tout p’tit, à obéir aux règles et à surtout bien fermer ta gueule. Si tu respectais ces trois règles, les punitions tombées. Coups ou privations, c’était aléatoire, et tout aussi désagréable l’un que l’autre. J’souhaiterais ça à personne aujourd’hui. Enfin, vu l’état de la planète, ça risque plus d’arriver, pas vrai ?

A dix-sept ans, je décide de me barrer de cet enfer pour m’engager dans l’armée. 2006, cinq ans après les tours jumelles. J’crois que c’était à ce moment-là que je m’étais résigné à rejoindre l’United States Marine Corps. Après avoir remporté haut la main les tests de qualification -heureusement que j’aimais le sport à l’époque-, je fus envoyé à San Diego, en Californie, avec une période d’engagement minimale de cinq années. Après avoir subi pendant plusieurs mois un entrainement aux armes basiques, je fus expédié à Camp Pedleton, toujours en Californie. Là-bas, je reçus des cours sur le perfectionnement les tactiques de combat en petites unités, mais également des entrainements complémentaires sur les armes. En deux ans, ma formation était achevée, et je reçus finalement le grade de Private First Class, autrement dit juste au-dessus du soldat basique. Rêve pas hein, ça m’donnait juste le droit de me servir en premier au self.

J’avais rejoint la 1st Marine Division, et rapidement je reçus l’autorisation de mes supérieurs pour postuler à l’Académie Navale d’Annapolis, seule moyen de pouvoir faire carrière dans l’armée et monter en grade. Fort heureusement, dans la Marine, pas besoin d’être un génie des mathématiques pour grader. Suffit juste d’avoir l’esprit combattif, un bon soupçon de connaissances stratégiques, et une voix assez puissante pour pouvoir gueuler sur ses recrues tout au long de la journée. Un rôle à ma hauteur, en quelques sortes. Après avoir réussi mes examens haut la main, je fus envoyé à Quantico, là où se situait l’une des plus grandes bases de la Marine. Je fis mes preuves sur le terrain sans trop de mal, et au début de ma quatrième année d’engagement, j’obtenu le grade de Lance-Caporal, rapidement suivi après quelques mois supplémentaires du grade de Caporal. J’étais officiellement un officier, ce qui me donnait le droit de botter le cul des recrues incompétentes, et cela en toute légalité désormais.

Je retournai à Pedleton, où j’obtins le leadership de la 2nd Fireteam, 3th Squad, 1st Platoon, 2nd Battalion, 1st Regiment, 1st Marine Division. Putain, qu’est-ce que c’était long comme titre. Tout ça pour dire que je dirigeais un groupe de quatre glandus, qui venaient se loger dans des groupes de glandus encore plus nombreux. Et chaque petit groupe avait son p’tit surnom en plus, mais mon préféré rester quand même « The Professionals », surnom donné au 2nd Battalion du 1st Regiment. La grande classe, pas vrai ? Ah ouais, pardon. La suite.

J’me suis retrouvé à entrainer pas mal de monde, et à chaque occasion possible, à participer à des opérations à droite à gauche. A la fin de ma septième année dans la Marine, je fus promu Sergeant, ou Caporal-Chef si vous préférez. Cette distinction me permettait d’être à la tête d’encore plus de glandus qu’auparavant. Trois Fireteam regroupées en une Squad, ce qui faisait un total de douze glandus, et un chef compétant. Ouais, bon. Treize glandus. Mais y’avait quelque chose qui clochait dans tout ça. Certaines de nos camarades se comportaient bizarrement depuis quelques mois. On est des soldats, on pose pas d’question, mais là ça commençait à sentir le roussi. Puis arrive le moment où tu t’dis que t’as assez de pouvoir pour enquêter. Grosse connerie. C’était le début de ma huitième année.

Cela faisait plusieurs jours que la Private Nelly se comportait bizarrement. Elle s’isolait, mangeait peu, et certains parlaient même de l’avoir vu chialer dans son lit. C’était pas vraiment son genre. J’ai bien tenté de lui tirer les vers du nez, mais elle s’obstinait à affirmer que tout allait bien. La conne. Avec les caporaux Bricks et Steven, on décida de garder un œil très attentif sur elle. Et ça loupa pas. Le soir même, elle quitta le dortoir discrètement et se dirigea vers les quartiers des officiers. Pas très net tout ça. On la prit en filature pour en savoir plus. A notre étonnement, elle se dirigea vers les quartiers du Major Williams, commandant de notre compagnie. Qu’est-ce qu’elle foutait là-bas ? Collant notre nez contre la porte légèrement entrouverte, on tendit l’oreille.

« …veut plus faire ça Major… »

Moment de silence. Je jette un coup d’œil. Notre camarade avait la tête baissée, tandis que son supérieur la regardait avec un air… Un peu malsain en fait.

« Toutes les femmes de ce camp sont passées par là, vous savez. Et puis, je sais que t’adore ça, pas vrai ? »

Il s’approcha pour lui saisir le poignet. Elle tenta de se débattre, mais le Major la plaqua contre la table, lui faisant une clé de bras pour la maintenir. D’un signe de main à Bricks, il l’invita à sortir son portable pour filmer la scène. Sur le principe, c’était dégueulasse, mais le seul moyen d’avoir des preuves pour ce que je prévoyais pour la suite. En une minute, le Major avait réussi à arracher les vêtements de la pauvre marine, qui tentait toujours de vaguement se débattre en pleurnichant. Bon, raz-le-bol. Je fis signe de couper la caméra, et ouvrai la porte d’un coup sec.

« Toc toc »

Le Major se retourna comme d’un seul bloc, surpris, et je profitai de la diversion pour lui décrocher un uppercut dans la mâchoire, qui l’envoya valser au pied de son bureau. Nelly se releva, le visage trempé, et d’un ton sec je lui ordonnai de dégager.

« Sergeant, je ne crois pas que… »

« Bordel, si l’armée avait voulu que t’aies un cerveau elle t’en aurait fourni un ! Maintenant fous moi l’camp ! »

Nelly pâlit un peu plus, avant de s’éclipser en vitesse. Leur supérieur se relevait difficilement, se tenant la mâchoire, grommelant des insultes et des menaces veines. Un sourire mauvais s’étirait sur mon visage. Je le choppais par le col, et le plaquais contre son bureau.

« On va vous apprendre à vous taper nos camarades, Major. »

La « leçon » dura pendant presque deux heures avant que nous sortions du bureau, étrangement satisfaits de nos actes, bien qu’avec une petite pointe d’anxiété.

L’officier fut retrouvé seulement le lendemain. Il avait le visage complètement déformé, et des fractures un peu partout sur le corps. Une heure plus tard, la police militaire nous embarquait sans plus de familiarité. On y était. Fallait assumer nos conneries maintenant.

Nous passâmes devant la cour martiale, qui devant nos preuves, se retrouva quelque peu… Gênée. Il fallait étouffer l’affaire, sinon la 1st Division allait être complètement déshonorée. Maintenant que j’y pense, filmer la scène m’avait sans doute sauvé la vie. L’affaire fut vite supprimée des archives, mais nous dûmes tout de même subir des conséquences, et pas des moindres. Nous échappions à la prison, certes, mais nous fûmes radiés des corps d’armée. Radiés. Bordel. Le pire des déshonneurs possible pour un militaire. Radié. Je serais le poing dans ma poche, me retenant d’exploser de rage.

Radié.

Je pris la décision de partir pour New York, la ville où tout est possible, selon certains. Ah… J’avais vingt-cinq ans, et nous étions désormais en 2014. J’avais gardé un peu d’argent de côté, ce qui me permis de subvenir à mes besoins, du moins, dans un premier temps. Le problème, c’était qu’aux Etats-Unis, personne ne voulait d’un militaire radié de l’armée. Je me retrouvais donc rapidement à tremper dans des affaires louches, comme de la revente de drogue, ou à faire le mac pour des putes. Rapidement, au bout de quelques mois passés à faire mes petites affaires, je fus repéré par un cartel de la drogue et de la revente d’armes, intéressé par mon expérience et mes anciennes rancunes envers l’armée. Intrigué, j’ai accepté l’offre qu’ils me faisaient, et je rejoignis leur rang. Pendant plusieurs années, je voyageais un peu partout pour le cartel, servais d’intermédiaire, entrainais certaines de leurs troupes. C’est là-bas que je fis la connaissance d’un bien étrange personnage. Il se faisait appeler Crâne. Le pire fils de pute que j’ai jamais rencontré. J’ai rapidement sympathisé avec lui, j’étais alors connu sous le pseudonyme de « Griffin », en rapport à mon tatouage. Au fil du temps, je m’étais fait une petite place au sein du Cartel. Le temps passe tranquillement, j’oubliais mon ancienne vie, et pendant près de six années, je bossais pour le Cartel dans des trafics et des opérations diverses et variées. Mon patriotisme est peut-être mort à ce moment-là.

Mais tout à une fin, pas vrai ? Les premières images de ce foutu gaz sont apparues un peu partout. C’était une merde sans nom, à première vue, et ça se rapprochait de nous. Les médias, en quelques semaines, semblèrent avoir oublié l’incident. Mais y’avait un truc qui clochait, et ça j’en étais certain. Rapidement, mes doutes furent fondés. Le gaz était là. Je me précipitais à la station de métro la plus proche pour rejoindre un des abris PC, déjà bien encombré de monde. La porte se referma sur ce monde chaotique. Pendant plusieurs heures, on entendit les cris et les grattements contre la porte blindée.

Puis plus rien.

Nous étions seuls.

L’abri avait un charmant petit nom : « Babylon ». Un nom qui allait devenir très rapidement ironique. L’abris fut rapidement contrôlé par un gang y ayant trouvé refuge, les « Red Sun ». Ceux-ci imposèrent une dictature sur tous les survivants du bunker. Les règles étaient simples. Chaque jour, on nous fournissait une combinaison, et nous devions sortir hors de l’abri par groupe de quatre, escortés à chaque fois par l’un des gangsters. Au début, il y eut des protestations, oh oui. Le problème, c’est qu’il fallait être complètement stupide pour s’opposer à un groupe équipé de fusils M4. Moi-même, éternelle tête brûlée, je provoquais plusieurs fois ces salopards. Je le regrettais rapidement, car je servis d’exemple pour tous. On me mettait en calbut au milieu de l’abri, puis on s’amusait faire de larges coupures au niveau de mon torse, mes bras et mon dos. Ces enfoirés s’en donnaient à cœur joie, découpaient chaque petite parcelle de ma peau. Effrayer la populace en s’en prenant au plus baraqué. Faut croire que ça marchait. Et moi, de mon côté, je serais les dents et attendais mon heure.

Rapidement, il fut constaté que nous manquerions de nourriture tôt ou tard, à cause du nombre. Il fut alors décidé deux choses : la plupart de la bouffe reviendrait aux gangsters, qui nous laisseraient les restes, et la seconde décision fut la mise en place d’un classement. Chaque personne rapportant du matériel ou de la bouffe gagnait des points. La personne ayant le moins de point à la fin de deux semaines se faisait exécuter en place publique. Rapidement, ce qui devait arriver arriva. Les membres de l’abri se tirèrent dans les pattes l’un-l’autre, et tous devinrent de beaux enfants de salops dans l’unique but de survivre. J’avais de la chance, avec ma carrure, personne ne venait me faire chier, mais les autres… Certains mourraient de fatigue, de faim, ou simplement tués par les gangters. Je devais me barrer de cet enfer.

Parmi les « serviteurs » des Red Sun, se trouvaient des connards de première catégorie. Ces derniers espionnaient pour le compte des boss, en échange de rations supplémentaires ou de faveur. Cela leur permettait de contrer toute révolte. Rick Morty en faisait partie. Un blondinet tout rachitique, que j’aurais pu briser en deux si j’en avais eu l’occasion. Cette fois-ci, je suis dans son groupe en patrouille. Il y a aussi Jessika, la petite nouvelle qu’on a trouvé à errer dans les rues. J’l’aime bien pour une simple raison : elle n’a pas encore été totalement corrompue par le désir de survivre dans ce groupe par tous les moyens. La seule personne encore bonne dans cet hôpital psychiatrique improvisé. Enfin, cette fois-là, elle n’avait pas vraiment l’air en forme. Pâle, elle trainait du pied, vacillait, manquait de tomber à chaque obstacle. Est-ce qu’elle avait réussi à récupérer de la nourriture hier soir ? Je n’en étais pas vraiment sûr.

Soudainement, elle s’effondra, à bouts de force. Le gangster chargé de nous escorté se retourna, avant de lui décrocher un coup de pied dans le bassin pour l’inciter à se relever. Jessika gémissait de douleur, un petit cri étouffé par la faim et la soif. Le gangster crie une sommation. La pauvre fille n’arrive pas à se relever. Alors, cet enfant de putain se pencha vers elle, attrapa sa combinaison, puis d’un geste sec, arracha le masque à gaz. Le cri de la pauvre gamine raisonna dans toute l’allée, un cri de pure agonie. C’était trop. Je regardais dans tous les sens, avant de repérer une arme improvisée : une grosse brique en béton. Je la soulève, me tournant vers notre bourreau avec un air mauvais. Ce dernier ne me voit pas, trop absorbé par le petit corps déformé par la douleur devant lui, tentant de ramper comme pour échapper à son sort tragique. Je m’approche doucement. Nick, cet enfoiré, crie alors de faire attention. Le gangster se retourne, me voit, mais avant d’avoir le temps de lever son arme, je lui défonce le crâne avec un coup de brique bien placé. Mon ennemi recule, vacillant, se tenant la tête en jurant. Hors de question de s’arrêter en si bon chemin. Je m’avance, le saisit par les épaules, et lui décroche un bon vieux coup de genou dans les couilles. Je le balance d’un coup sec au sol, avant de récupérer le couteau pendant à sa cuisse. Sans plus d’hésitation, je lui enfonce dans la gorge, et le tourne d’un coup sec. Je maintiens la lame tandis qu’il se débat, misérable larve à la merci de son prédateur. Son masque se colore en rouge, le sang s’échappant dans un flot continu à travers ses lèvres. Bientôt, on ne distingue même plus son visage. Je finis par retirer la lame d’un coup sec, le corps de ma victime se secouant dans un dernier spasme avant de s’immobiliser.

« Bordel… Bordel Adama, qu’est-ce que t’as foutu ?! »

C’est la voix de Rick. Je ne prends même pas la peine de répondre à cet enfoiré, et ramasse le fusil M24 que porte que gangster, passant la sangle autour de mon cou. Je ramasse également son étui à couteau, que je fixe au niveau de ma jambe gauche. J’entends des pas qui s’approche de moi, dans mon dos. Je me retourne, juste à temps pour voir Rick, qui me décroche un coup en plein dans l’estomac. Quel fils de pute ! Les autres membres du groupe ont déguerpi, c’est donc entre moi et lui. Je vois son second coup arriver, que j’esquive en faisant un pas sur le côté cette fois-ci. Je lui attrape le bras, une main sur l’avant-bras et l’autre sur le biceps, puis je donne un violent coup avec mon genou au niveau de son coude. Un bruit désagréable d’os se rompant se fait entendre dans la combinaison, suivit par le cri de douleur de Nick. Je souris, un sourire beaucoup trop sadique. C’était mon petit moment de vengeance. Cet enfoiré avait dénoncé beaucoup trop de mes comparses. Je le balance au sol, et ce dernier se roule en boule, pleurant comme une fillette. Je m’approche doucement, saisit sa tête, et donne un coup violent sur le sol avec son crâne. Puis, je me penche, murmurant à travers les sanglots.

« Si je te recroise Rick, j’te butte. »

Je me redresse, soulève mon tout nouveau fusil, et lui décroche un coup de crosse en plein dans la nuque. Le collabo s’effondre, inconscient. Je regarde autour de moi un moment. Libre. Libre, et armé. Je m’approche du gangster, et récupère tout ce qui peut être utile. Deux chargeurs supplémentaires, un peu de bouffe, et un paquet de clope. Je tiendrais quelques jours avec ça. Je m’approche du corps de Jessika, et la regarde, dégouté. Le gaz avait eu raison d’elle. C’était pas beau à voir. Comme unique consolation, je lui referme doucement les paupières, avant de l’entrainer jusqu’à un bâtiment un peu plus loin pour ne pas laisser le cadavre à la vue de tous. Dors bien gamine, j’espère que tu seras mieux là où tu es désormais.

Et me voilà maintenant. Je dois trouver un nouvel abri, et surtout de quoi subvenir à mes besoins. Mais dans cette gigantesque ville en ruine, arriverai-je à trouver ne serait-ce qu’un visage amical ? Ça reste à voir.

Au bout de quelques jours, je suis rentré en contact avec un petit groupe venu du Bunker 21. Ils me ramenèrent au Bunker, où je fus placé sous surveillance quelques temps, le temps d'être sûr que je ne sois pas là pour tous les buter. Bien entendu, mon arme fut retirée. Deux mois enfermé dans ce putain de Bunker à me faire chier, jusqu'à ce qu'enfin, on accepte de me prendre en tant qu'Outsider. Enfin. On allait pouvoir commencer à se dérouiller un peu.
Prénom/surnom : Adama
Âge : 18 ans
Expérience dans le RPG forum : 4-5 ans
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COMPETENCES
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 8JaYqyB0 / 2500 / 250John Adama - Patriotisme, désillusion et baston NgcHQAW
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston AshM7ej0 / 1500 / 150John Adama - Patriotisme, désillusion et baston Gjq2sIf
Niv. 1
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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 1ZNHYzi0 / 100 / 10John Adama - Patriotisme, désillusion et baston DRoOKTW
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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
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M- M249
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S- AUCUNE ARME
I- Mac 11
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25
01/09/2017
Triss Metelsen
Expérience :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 8JaYqyB0 / 2500 / 250John Adama - Patriotisme, désillusion et baston NgcHQAW

Points de vie :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston AshM7ej0 / 1500 / 150John Adama - Patriotisme, désillusion et baston Gjq2sIf

Niveau : Niv. 4
Espace inventaire : 0/12
Gilet Tactique : N/A
Composants électroniques : Filtre à Air de niveau 2
Sacs : N/A
Précision :
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 1ZNHYzi2 / 102 / 10John Adama - Patriotisme, désillusion et baston DRoOKTW

Médicaments : MÉDICAMENTS 1
Métal réutilisable : N/A
Objet Secondaire : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Equipement 1 : N/A
Equipement 2 : N/A
Equipement 3 : N/A
Equipement 4 : N/A
Equipement 5 : N/A
Equipement 6 : N/A
Equipement 7 : N/A
Equipement 8 : N/A
Equipement 9 : Kit de Soin
Equipement 10 : N/A
Equipement 11 : N/A
Equipement 12 : N/A
Arme primaire en main : M- G36C
Mod : Skin : test
Mod : Optique : ACC - Aucun
Mod : Chargeur : ACC- Aucun
Mod : Poignée : POIGNÉE- Aucune
Mod : Bouche : DEVANT- Aucun
Mod : Autre : SOUS- Aucun
Arme au corps à corps : M- Hache à Deux Mains
Arme secondaire en main : S- HK USP.45
Arme dans l'inventaire : I- AUCUNE ARME
Munitions 1 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Munitions 2 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Munitions 3 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
Competence 1 : N/A
Competence 2 : CIGARETTE 4
Competence 3 : Aucune Compétence Active
Compétence 4 : John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
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Localisation : Le sud o/
Survivant du bunker
Triss Metelsen
Ven 1 Sep - 23:08

Identité
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Spécialité: Médecin
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Niv. 40/12N/AFiltre à Air de niveau 2N/A
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 1ZNHYzi2 / 102 / 10John Adama - Patriotisme, désillusion et baston DRoOKTW
MÉDICAMENTS 1N/AJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSN/AN/AN/AN/AN/AN/AN/AN/AKit de SoinN/AN/AN/AM- G36CtestACC - AucunACC- AucunPOIGNÉE- AucuneDEVANT- AucunSOUS- AucunM- Hache à Deux MainsS- HK USP.45I- AUCUNE ARMEJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRSN/ACIGARETTE 4Aucune Compétence ActiveJohn Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS 148Féminin25/04/201729Le sud o/
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John ADAMA : Validé




Bonne petite présentation bien propre, j'ai bien aimé. Un gros fils de pute (encore un) mais qui a un peu de cœur derrière sa montagne de muscles. Bref, le bon bourrin de base qui peut éventuellement être attachant (mais ne poussons pas jusque là... :P ). Bienvenue à toi !

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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston AshM7ej0 / 1500 / 150John Adama - Patriotisme, désillusion et baston Gjq2sIf
Niv. 4
0/12
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Filtre à Air de niveau 2
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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston 1ZNHYzi2 / 102 / 10John Adama - Patriotisme, désillusion et baston DRoOKTW
MÉDICAMENTS 1
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John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
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Kit de Soin
N/A
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M- G36C
test
ACC - Aucun
ACC- Aucun
POIGNÉE- Aucune
DEVANT- Aucun
SOUS- Aucun
M- Hache à Deux Mains
S- HK USP.45
I- AUCUNE ARME
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
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N/A
CIGARETTE 4
Aucune Compétence Active
John Adama - Patriotisme, désillusion et baston KplZsRS
148
Féminin
25/04/2017
29
Le sud o/

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