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Virement reçu #110, montant 10K • AZIZ OUBRAM
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AZIZ OUBRAM
Fiche de personnage

Hors RP


Prénom : Aby.

Âge : 24 ans.

À quoi occupes-tu tes journées ? Lire, écrire, manger, écrire, jouer, écrire... 

Expérience dans le RPG forum : J'ai commencé à 12 ans. Oui.

Où as-tu trouvé le forum ? Je crois que je ne peux pas compter sur mes deux mains le nombre de fois ou on m'a envoyé le lien du forum en me disant que ça me plairait peut-être. Braves enfants. Et puis une autre dame est venu me passer de la pommade dans le dos en me disant qu'elle ne voyait pas mieux que moi pour jouer son oncle. J'ai fondu.

Autres : SRYJFYRKJYTH


Informations générales

Âge : 34 ans.
Sexe : Masculin
Date de naissance : 01/04/1987
Nationalité : Américaine - Marocaine
Fonction : Cuisinier


Histoire

 Virement reçu #110, montant 10K • AZIZ OUBRAM  1478357037-aziz-sign0 

A la fin des films, j’ai toujours les yeux qui piquent. C’est la fin, après y a plus rien. C’est triste, non ? Je suis pas le seul, bien évidemment, à pouvoir pleurer devant les vieux films. On est des milliers –non, des millions- qui ont pleuré devant Titanic. On a toujours les yeux qui piquent quand la personne avec qui on a tissé des liens au travers de scénarios programmés et d’astuces de réalisation finis par disparaître –que ce soit joyeusement ou tristement.
 
« Les réflexes sont bons. Comment vous sentez-vous ? »
 
J’ai hoché la tête. Ce n’est pas une réponse. Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. Je voulais lui dire que j’avais les yeux qui piquent. J’ai les yeux qui piquent parce que c’est terminé. Et qu’après, y a plus rien.
 
L’homme m’ausculte, me palpe, me prélève du sang et me dit d’attendre en salle de soin.
 
Là-dedans, ça pue la mort. Pas littéralement, même si ça sent le désinfectant et l’hôpital.
 
Non, ça pue la mort parce que des gens geignent. Des gens pleurent. Des gens prient.
 
Et y a moi.
 
Moi qui murmure les mots que j’ai le plus entendu de mon père, à voix basse, la gorge enrouée. J’ai probablement attrapé froid en transpirant dans la combinaison. Oui, c’est probablement ça.

 
« debber 3la chi khedma lli ghat fid l'moujtama3 »
 
Bon, faut l’avouer, je l’avais mérité. Sa litanie de « Trouve toi un travail qui va servir à la société », bien que la traduction soit aléatoire, était assez fondée. El Hajeb n’est pas vraiment un endroit fréquentable pour les jeunes. Il n’y a rien à y faire, on s’ennuie si on ne travaille pas et… J’avais pas envie de travailler.
 
J’étais qu’un gosse. Un marmot, c’est con.
 
Je séchais les cours pour trainer avec des potes. En soit les cours auraient pu nous occuper, mais c’était vraiment trop chiant d’entendre nos professeurs nous dire quoi penser. A la place on trainait dans les terrains vagues à taper dans des boites de conserves à la batte de baseball.
 
Je vous ai dit : Un marmot, c’est con.
 
J’ai finis par, dans mes voyages avec mes potes, rencontrer des gens. Des gens pas forcément fréquentables qui m’ont permis d’avoir un revenu. La vie, c’est plus simple quand t’es livreur de cannabis. Tu te pointes, on te dit bonjour, tu dis bonjour, l’échange se fait et soudainement t’as assez pour payer une tournée à tout le monde. Faut juste pas oublier de dire bonjour.

J’ai ramené mes genoux contre moi, revenant de mes pensées pour regarder alentours. Bien entendu, rien n’avait bougé. C’était simplement étrange de voir ces murs gris pour une salle de soin. Un rappel ridicule, rikiki, de l’anormalité de la situation. De la catastrophe.

Et j’ai reposé mon visage contre mes genoux en soupirant. Peut-être que sans la lumière, mes yeux me piqueraient moins.



Et un jour j’ai faillis me faire choper. Franchement, c’est la clope qui m’a sauvé la vie. J’étais allé taxer un gars derrière la cabane quand j’ai vu la voiture des flics débarquer à notre point de vente. Je crois que ça m’a pris quelques secondes pour réaliser.

J’ai regardé la voiture.
Ses phares m’ont regardé.
J’ai lâché ma clope et j’ai crié.

Je sais plus vraiment ce que j’ai crié, ni même si j’ai vraiment crié un mot, mais tout le monde a compris derrière moi et on s’est séparé d’un coup. Moi j’ai foncé à travers champs, j’ai traversé le parking du supermarché.

C’est dans ces moments-là que ton cerveau est ton meilleur ami. Là, de toute façon, ils ont vus ta tronche et ils savent. Ils viendront te chercher plus tard. Faut juste se débarrasser de ce que t’as. Et bordel, t’as beaucoup. Et c’est tout ce que je me suis dit.

Alors j’ai traversé la grande avenue comme un dératé, sans même regarder si y avait encore des flics derrière moi, et j’ai foncé dans les toilettes de la station essence à bout de souffle. J’ai poussé des gens, d’autres se sont écartés, et j’ai tout jeté à une vitesse de malade. Je crois qu'une dame tambourinait à la porte en gueulant « TLA7 ». Je crois que mon prof de sport aurait été super fier de moi.

C’est étrange d’entendre les gens prier, dans ces conditions. Je n’ai jamais été particulièrement croyant pour ma part, mais les catastrophes récentes ne m’ont pas vraiment donné plus de raisons de l’être.

Je m’attendais à voir les croyants perdre la foi. Mais non.

Ils continuent de prier un Dieu qui les a vraisemblablement abandonnés. Nous, l’humanité, sommes bien étranges.

J’ai bien entendu finis au poste. Et on m’a interrogé, on m’a un peu bousculé, dans l’espoir que je dise quelque chose. Mais je n’ai rien dit. J’ai jamais été très doué pour parler, de toute manière. J’ai juste fixé les flics avec le regard vide, sans jamais vraiment les regarder eux. J’ai pensé à mes frères. J’ai pensé à mon père. J’ai surtout pensé à Jamal. Et j’ai bien fais.

Parce qu’en sortant de là, ce n’est pas mal famille à m’avoir contacté en premier. C’était, et je m’en souviendrais longtemps, Jamal qui me demandait de lui rendre son pognon. Bien sûr que j’avais pas les moyens, je venais de jeter tout ce qui pouvait me le permettre dans les toilettes d’une station-service. Alors j’ai pris peur et j’ai demandé de l’aide.

J’ai jamais été très proches de mes frères. Je suis le petit dernier, alors fatalement j’étais un peu la plaie pour beaucoup d’entre eux. Loin de moi l’idée de dire qu’ils m’aimaient pas ou je sais pas quelle connerie, hein ? Juste que pour eux : J’avais merdé, donc c’était à moi de m’en tirer.

Mais je crois qu’il n’y a qu’un seul d’entre eux qui a compris à quel point j’étais dans la merde. Et Ilyas avait quelques copains bien placés.

Du coup je suis allé me planquer quelques temps chez un de ces fameux amis, à Casablanca. Le mec était lambda, un peu dégarnis, comptable, un peu chiant. Mais correct. Il m'a planqué, m'a appris deux trois trucs pour passer le temps, on a discuté un peu.

Il m'a forcé à prendre des cours d'anglais. La base, mais ça me saoulait. Après, je dois avouer que j'avais pas grand chose d'autre à foutre, alors j'ai travaillé. Je préférais faire des maths, mais il jurait que ça me serait utile si je voulais avoir un travail sans diplôme.

Le vieux était chiant, mais il savait pas à quel point il avait raison.

Je sais plus vraiment comment j’ai appris pour le bunker. Des gens dans la rue, un message à la radio, un flyers ou quelque chose du genre ? Non, j’en sais vraiment rien. Je sais juste que j’avais Hassan et Ibrahim sur la plage arrière, en pleine crise de panique, qui me commentaient ce qu’ils voyaient sur les trottoirs.
 
Mais valait mieux se concentrer sur la route.
 
J’ai vu des gens se jeter devant des voitures pour qu’on prennent leurs gosses déjà à moitier morts. J’ai vu des gens attaquer d’autres qui rejoignaient leurs voitures pour les leur voler. J’en ai vu d’autres se mourir dessus entre eux.
 
Et vous savez quoi ?
Je n’ai jamais ralentis.

Si je devais vraiment raconter comment j’ai fait pour me retrouver aux USA du jour au lendemain, ce serait vraiment trop compliqué. Surtout que je connais même pas moi-même la moitié de l’histoire. Je sais que c’est Ilyas qui m’a encore sortit de là - allah y 7afdou – et je me suis retrouvé aux USA, dans un refuge d’immigration pour apprendre un métier et la langue. C’était craignos, c’était puant, mais heureusement j’ai pas duré.

Mais c’était finit les histoires à la con comme ça. J’ai bossé comme un fou aux cours du soir, en bossant dans des vieux restaurants le soir et des trucs de fast food le jour. J’ai géré comme je pouvais jusqu’à obtenir un semblant de diplôme et j’ai finis par bosser dans une banque à New-York même, comme comptable et conseiller. Le genre de taff qui ferait briller les yeux de mon père.

Je crois que c’est la seule lettre que j’ai envoyé à ma famille. La photo de mon bureau, une fiche de paye –en soit je gagnais pas tant, mais j’avais une fiche de paye- et une lettre d’excuse. J’ai jamais eu de réponse en soit. A part Ilyas et sa femme, qui m’ont envoyé une photo de leur fille à son anniversaire.

Une photo de ma nièce.
Toute petite.
Qui soufflait ses bougies.

Et j’ai pleuré, ce soir-là. Probablement à cause du film.


J’ai rouvert les yeux en entendant un grand bruit. Le grand dadais qui se dandinait de droite à gauche en psalmodiant je ne sais pas quoi tout seul près de moi venait de se vautrer au sol. Il continuait, par terre, de répéter quelque chose.

Et maintenant qu’il était plus près. J’entendais ses mots.
Comme des larmes acérées.
Je l’entendais dire à ses amis qu’ils les aimaient.  
En regardant dans le vide.

Mais les trucs se passent jamais selon le plan. Y a qu’à regarder les films de James Bond, ou les Die Hard. Le plan, c’est de la merde. Le monde emmerde le plan. Et toi, tu te sens con.

Du coup, c’est le moment que quelques vieilles connaissances du Maroc ont choisis pour venir me voir et me demander un coup de main. Ils avaient été obligés de se démerder après avoir essayé de fausser compagnie à Jamal et maintenant, ils avaient besoin d’un peu de soutiens d’un frangin bien implanté pour avoir un commerce.

Et j’ai marché. Comme un 7mar, j’ai marché directement dedans. Je me suis débrouillé avec mes collègues pour qu’ils aient un prêt, pour ouvrir leur espèce de bar à chichas et j’ai joué les comptables.

Et ça m’a pris quoi ? Deux mois pour réaliser que les chiffres ne collaient pas du tout ? Pour comprendre que le bar était beaucoup plus rentable qu’il ne devrait l’être ? Forcément qu’on s’est engueulés. Ils m’avaient mentis. Mais ils avaient besoin de moi, sinon ils allaient vraiment finir en prison. Ils avaient aucunes idées de comment cacher ça des livres de comptes, ces 7mir…

Alors je suis resté, et j’ai donné un coup de main. Franchement, ça me plaisait pas. Je voulais rien à voir à faire avec leurs conneries. Je gérais les compte et c’est tout, wallah.

Et tout s’est bien passé en fait. Le bar a continué à tourner. Leurs histoires aussi. On avait tous un flingue juste au cas où quelque chose se passait mal –même moi- et je soupçonnais Hassan d’avoir fait un peu trop de zèle à ce niveau. Nous fournir à tous un Glock 21, les flingues des flics, ça sonnait un peu comme une blague à nos oreilles à tous.

Un plan bien huilé. Tout était prévu.
Tout, sauf la fin du monde.



Description physique
Franchement, j’ai un physique qu’on pourrait qualifier de fragile. C’est probablement un tout, vous me direz, mais faut bien dire les choses comme elles sont : Avec mon physique de lâche et mes trois poils sur le menton, j’ai plus l’air d’un rescapé de l’adolescence qu’un homme dans la fleur de sa vie.

Sinon, j’ai les cheveux qui furent à une époque court mais disons que les temps ont changés. Ils sont noirs et plutôt du genre ondulés. Du genre pas tellement souple, pas tellement entretenus… Des cheveux, quoi. Avec des yeux marron tout ce qu’il y a de plus normal, pas de quoi en faire tout un foin.

Bon, soyons plus précis. Je sais que je suis là pour ça, après tout. Donc je fais environs un mètre 80, pour vraiment pas beaucoup d’épaisseur je dois dire. J’ai les cheveux qui me chatouillent la nuque, de manière assez désagréable, et je les ramène en une sorte de queue pas vraiment très classe mais bien pratique. Quand j’ai besoin de lire, j’ai besoin de mettre des lunettes tellement grosses que j’ai l’impression de revenir dans les années 80. En soit, j’aimerais bien.

J’ai des lèvres sèches, un visage assez sévère quand je souris pas, un regard digne des plus grands serial killer et, parfois, on a l'impression que je peux faire craquer mon corps à des endroits ou ça ne devrait pas être possible. C’est pas le genre de physique qui laisse beaucoup de place à la confiance et à l’amour, mais au moins je suis tranquille et personne vient me faire chier.

Enfin….

Presque.


Description mentale
Il y a un moment dans ta vie ou tout prend un sens nouveau, ou tout bascule. J’imagine que chacun à le sien, à sa manière. Son premier gamin, son premier accident –même chose, à mes yeux, mais passons- , son premier baiser, sa première partie de jambe en l’air… Les premières fois, ça vous change un homme. Et je crois qu’on a tous vécut une première fois qui a drastiquement tout changé.

Je crois que moi, c’est la première fois que j’ai vu quelqu’un mourir juste devant mes yeux.
C’est pas le genre d’expérience qui se déroule comme dans les films. J’ai beau regarder un paquet de films d’horreur d’époque, de thriller et de conneries du genre… Non, c’est rien de tel, je peux vous le jurer.

Le pire, je crois, c’est de l’entendre s’effondrer. Le bruit mat de la chaire sur le sol.
Je crois que c’est ce bruit, précisément, qui pourrait me donner la nausée dans l’instant.

Mais hamdoullah, je gère.
J’ai décidé de gérer à ce moment-là, pour être précis. Jusqu’à maintenant, j’avais plus ou moins toujours dépendu des autres pour sauver mes fesses. Mon frère, les assistantes sociales, les collègues, les potes… Non, pas là. Là, j’ai pris mon Glock et j’ai fourré quelques fringues dans un sac et j’ai passé deux coups de fils pour rassembler les gens. Je savais quoi faire, je savais comment faire. J’avais peur, j’ai probablement vomis sur le chemin –deux fois- mais je savais ce que je devais faire.

Un moment que le pays mettait à disposition une sorte de mode d’emploi, que j’ai jamais été assez con pour lire en travers, pour se protéger d’une éventuelle épidémie / attaque chimique. Je crois que ce qu’il y avait de plus flippant là-dedans, c’est que j’avais aucune idée de l’explication la plus plausible et de celle qui me rassurait le plus. J’imagine que quelque part, une attaque chimique, c’est qu’il doit y avoir un remède…

J’ai jamais été très courageux, pas vraiment du genre à dire ce que je pense mais plutôt à fermer ma gueule. Mais là c’était fini. J’ai rassemblé mes potes qui piaillaient comme les poules de ma tante quand j’étais gosse et on s’est enfoncés dans le chaos.

A la réflexion, on y était déjà depuis quelques semaines. Peut-être même des mois. Mais y a des indices, des trucs qu’on ne peut qu’entrevoir comme une intuition alors que ce n’est que de la déduction logique. Je me suis senti débile en écrivant à mon frère à propos d’un truc qui allait arriver, des mesures de sécurité prises ici. Mais j’ai toujours été trop prudent. J’imagine que c’est pour ça que malgré mes choix de vie merdiques, je suis toujours en vie.

Trop con pour être milliardaire, trop intelligent pour me faire allumer comme un poulet.
Bonne nouvelle : Les dollars servent plus à rien.

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Aziz Oubram a écrit:Où as-tu trouvé le forum ? Je crois que je ne peux pas compter sur mes deux mains le nombre de fois ou on m'a envoyé le lien du forum en me disant que ça me plairait peut-être. Braves enfants.
QUOI ?
ET ON NE MENTIONNE PAS MA PROPAGANDE ET MES ALLUSIONS
"Tu voudrais jouer l'oncle de Ghriba ? c:"
"Haaa j'ai une idée de lien tellement cool avec mon perso..."
"Le problème c'est que c'est un lien important donc si j'en fais un prédef qui est pas joué au final ça me saoulerait"

... Ingrat   Virement reçu #110, montant 10K • AZIZ OUBRAM  2767202181
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J'AI TERMINE MA FICHE !
PS: Et j'ai réparé cette injustice, Ghriba   Virement reçu #110, montant 10K • AZIZ OUBRAM  2971936448
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Fiche validée, Aziz Oubram en tant que Cuisinier

☣ Points forts


☢ La syntaxe agréable, claire et compréhensible.
☢ L'écriture légère, simple et efficace.
☢ Le personnage travaillé.


☣ Points faibles


☢ Quelques rares fautes de grammaire.


☣ À faire maintenant


☢ T'assurer d'avoir bien lu tout le règlement, le système de jeu et les deux annexes (1 et 2).
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