Allen Rings [TERMINE]
Fiche de personnage  Prénom : Nagi/Ash/Allen Âge : Le même que la première fois À quoi occupes-tu tes journées ? JDNFKLQNFKLQSNFKLQSNDKZ Voilà. Expérience dans le RPG forum : Depuis mon premier compte, j'suis modo ici. ♥ Où as-tu trouvé le forum ? Bizarrement, je ne sais pas. Autres : TROP DE TOKYO GHOUL TROP DE DRAMA TROP DE COMPTE JE SAIIIIIIS MAIS C'EST L'AMOUR, L'AMOUR DU RP DU DRAMA, DU SKILL DU DJZA?NFKENFKLZENFKZ. Cordialement la direction. Âge : 20 ans Sexe : Homme Date de naissance : 11/09/2001 Nationalité : AMERICA FUCK YEAH Fonction : Outsider- Assaut Il y avait une légende. Une sordide légende. D'après les rumeurs qui couraient partout sur le net, il existerait un cirque, Le cirque des bois sombres dans lequel serait exposé, sous vos yeux, les pires créatures humanoïdes ayant jamais exister. On ne sait pas grand chose de ce cirque, ni quand, ni où il se produit. Certain vous diront-là que ce ne sont que des rumeurs, d'autres, une horrible histoire creepy pasta. Pourtant, pour l'inspecteur Roman Rings (GG celui qui trouve la référence 8D) en charge de cette surprenante affaire il était clair, certain même, qu'un tel lieu devait bel et bien exister. Monsieur Rings était un grand nom de la police américaine, c'était un homme d'une trentaine d'années qui malgré son jeune âge avait profondément marqué les forces de l'ordre. Depuis dix ans, cet homme issu d'un milieu aisé avait grimpé les échelons jusqu'à devenir inspecteur. Ses hauts faits, lui on valut une grande réputation et des promotions à des postes importants. Cependant, l'inspecteur Rings n'avait jamais donné suite à ces offres. L'inspecteur Rings, lui, ne souhaitait qu'une chose, le terrain. Il voulait être au contact des affaires qu'il dirigeait, au cœur même de ces histoires sombres dont il avait la charge. Il avait la réputation d'un homme doté d'une forte tendance au zèle. Il prenait en charge toutes les affaires que personne ne voulait. C'est par cette fâcheuse manie au zèle que l'inspecteur Rings s'était retrouvé là, après plus d'un an d'enquête, devant le fameux et terrifiant cirque des bois sombres. Les spectateurs de ce redouté spectacle était, remarqua-t-il, des grands noms de la haute société. Une minorité enviée qui avait pour quotidien de vivre dans un monde totalement différent du sien. Le cirque des bois sombres était tout sauf ce qu'on pouvait attendre d'un cirque. Il y avait, c'est vrai, un large chapiteau, bien plus imposant que tous ceux qu'il avait pu voir au cours de sa vie. Mais surtout, l'intérieur... L'intérieur ! Presque trop chic. Tout transpire l'excès ici. De larges et confortables sièges dorés, une vaste piste ornée d'imposants rideaux rouges. Les femmes vêtues de grandes robes devant coûter plus de trois fois son salaire papotaient dans un langage, un accent qui lui étaient inconnu tant il était rare de l'entendre. Les hommes, eux, fumaient de larges cigares en débattant de sujet qui lui était pour le moins obscur. Lui, il avait beau avoir soigné son apparence il n'en restait pas moins étranger à ses gens. Il avait l'impression d'être le jeune Julien Sorel dans le rouge et le noir. Étrangement, personne ne contrôlait les entrées. D'un coup, le noir fut et silence se fit. Bientôt, une lumière au centre fit découvrir au public le monsieur loyal de cette soirée. Un jeune homme. Aux cheveux blancs et aux yeux rouges. Dont les bras, la nuque et le visage était ornés de points de sutures eux aussi rouges. Habillé dans un vêtement grossier de fête, il avait l'air grotesque. Le voilà donc... Le premier monstre. Pauvre gosse. Rings observa cet étrange personnage. Et après que le tonnerre d’applaudissement se tarit et que le jeune homme se redressa d'une rapide révérence, il chanta. Et le spectacle fut... Le plus horrible que Rings n'eu jamais vu. - Dans la forêt, vers le mauvais coté Il y a un cirque, totalement insolé Le directeur observe la scène depuis Sa grande hauteur, plus de dix mètres et puis Tous les acteurs, rient et sont charmants Bien que leur forme se découpe étrangement A la lumière, tout comme à la pénombre C'est amusant le cirque des bois sombres ! A ce moment là, un à un, les sombres acteurs de ce spectacle arrivèrent. Et Rings comprit. Des enfants dotés de difformités, d'handicaps. Voilà ce qu'étais les artistes du cirque des bois sombres. Et monsieur loyal, continuait de chanter. - L'un avec deux têtes pour un corps Une chanteuse difforme pleurant sur son sort Une bête bleue et bien affamée Festoyant sur les restes de son êtres brisées Quelqu'un souhaite-il que je reste vivante ? Mon corps n'est-il qu'un simple objet d'épouvante ? Pourquoi donc me regardez vous comme ça ? Cette souffrance vous ne la comprenez pas C'est si douloureux et cela n'aura jamais de fin M'a-t-elle dit ce matin Mais nous continuons dans ce cirque qui nous est dédié Souffrant pour l'éternité ! Et, avec un frisson d’épouvante, Rings vu ces pauvres enfants se placer aux cotés de monsieur loyal et tous chantèrent en cœur, la fin de la chanson. - Mais c'est amusant, c'est si amusant Comment ce cirque peut-il faire rire autant ? Je soupire après mes yeux délavés Qui sombrent peu à peu dans l'obscurité Je veux juste mourir, simplement mourir Personne ne pourrait m'aider à en finir ? Mais cet enfer nous n'y échapperont pas Pour nous tous, cette vie est le seul choix... La foule se leva et applaudit, Rings lui appuya sur un bouton de son portable... Et lança le signal du commencement de l'opération. ------ Le raid contre le cirque avait été une opération des plus faciles. Personne ne s'était attendu à voir débarquer les forces armées de la police. Chaque spectateur avait été emmené en garde a vu et les gérants de ce sombre cirque furent mirent rapidement entre les mains des plus hautes sphères de la police. Quant aux enfants... On apprit rapidement que chacun d'eux avait été généreusement donné au cirque par leurs propres parents, dégoûtes par la difformité de leurs progénitures. Cela faisait plus de dix ans que le cirque tournait et pour la plupart par d'entre eux, cette scène, ce spectacle était tout ce qu'ils avaient connu. Au milieu des enfants prient en charge par la police il y avait monsieur loyal qui continuait a chanter sa triste chanson. - Pourquoi chantes-tu mon garçon ? lui demanda Rings - Je suis monsieur Loyal... Je dois chanter. C'est moi qui dirige le spectacle, je dois chanter. Sans moi, les autres seront perdus. Alors je chante. - Tes amis ne craignent plus rien. C'est finit. Tu as un nom ? - Allen. Mais tout le monde m'appel Loyal. C'est finit ? Si c'est finit que vais-je faire ? Je ne sais que chanter ma chanson, moi. Si je ne chante pas... Il faut que je chante... Pour protéger et montrer à tout le monde la bonne voie. Ce garçon, Allen, avait, quinze ans. C'était le plus vieux du cirque. On lui avait donné le rôle de monsieur Loyal car tout les enfants l'aimait. Il était le grand frère, il les protégeaient. Il ne savait pas qui était ses parents, il doutait même d'en avoir. Mais tout cela n'avait pas d'importance pour lui. Lui, il voulait être un héro, quelqu'un de fort. Il était le héro de ce cirque. Et ce jour là, Roman Rings se prit d'affection pour ce petit être singulier. S'il avait pensé un seul jour, un seul, qu'un tel sentiment de paix pouvait exister, il aurait surement mieux profiter de chacun des instants de sa vie. Allen n'était plus Allen. Il était Allen Rings. Fier fils de Roman Rings, lui-même fière inspecteur de police. Oh, les débuts de cette relation n'avaient pas été si simples que ça. Allen s'était longuement méfié de cet homme qui avait détruit son univers. Il avait détruit sa seule réalité, lui avait tendu la main et lui avait montré un monde inconnu, dont du haut de ses seize ans aujourd'hui, il n'avait jamais soupçonné l’existence. Lui qui avait passé sa vie sous des projecteurs avait à présent un foyer, une figure d'autorité autrement plus rassurante que celles des directeurs du cirque, un accès à l'éducation, une porte sur la vie. Allen n'avait pas du tout oublié son ancienne vie. Du cirque des bois sombres, il gardait sa chanson, une gestuelle, un comportement et des façons de parler très théâtrales ainsi que ses points de sutures rouges. - Je ne veux pas oublier. avait-il un jour confié à son père d'adoption Tout ça fait partit de moi. Je suis aussi monsieur Loyal. Et puis, je m'aime bien comme je suis. Comparé aux autres, je ne me suis jamais vraiment détesté. Des autres, justement, il en gardait de fréquentes nouvelles. Chaque mois, Rings et lui envoyaient de nombreuses lettres. La plupart des enfants du cirque avaient été placés dans des foyers, certains avaient même trouvé des familles d’accueils. Chacun reprenait goût à la vie disait Rings, Allen, lui disait que chacun apprenait à vivre. Pendant la première année de son adoption, Allen avait touché à tout ce qui lui était nouveau. Il a découvert les joies de la musique, il s'est fortement intéressé au métal et a découvert son bonheur en écoutant le groupe Rhapsody. Il a découvert le cinéma, le jeu-vidéo, le sport, les joies de la sociabilité. Souvent repoussé pour son apparence, certains le trouvait cool, attirant et de ces curieux il s'était fait des amis. Il admirait les héros des comics que Rings avait chez lui. Il lisait avidement les coupures de journaux faisant le triomphe des faits d'armes de son père. A seize ans, Allen décréta qu'il souhaité devenir, comme son père, policier, le meilleur de tous, le plus fort, tellement fort qu'on l’appellerait héro. A partir de là, Rings entraîna Allen dans le but d'en faire un futur bon policier. Allen se distinguait de part sa longue vie au cirque par une agilité remarquable, une souplesse et une rapidité à toute épreuve. Il aimait le maniement des armes banches. Expert dans l'art du lancé et du maniement des couteaux il rêvait cependant de manier une hache d'arme comme le héro de Skyrim ou les guerriers qu'on pouvait voir sur les pochettes du groupe Rhapsody. Ces jours paisibles continuèrent pendant plusieurs années. Jusqu'à la fin d'une époque. Le monde est devenu fou. Comment on en est arrivé là ? Lui-même ne le savait pas. Si j'avais su.... Si j'avais su. Tout était allé si vite qu'il ne savait même pas par où commencer. C'était peut-être inévitable ? Dans les comics, le mentor ne finissait-il pas toujours par mourir. Peut-être était-ce dans l'ordre des choses ? Rings, était son modèle... N'était-ce pas normal que dans l'histoire, il en vienne à se sacrifier pour faire avancer son disciple ? Si c'était le cas, alors cette vie était profondément injuste. Et la comédie qu'il pensait alors vivre n'était qu'en faite une vaste tragédie. Pourtant, dans les premiers jours, tout allaient pour le mieux. A la suite des événements et au vu de sa grande réputation, Roman Rings fut rapidement informés de l’existence du bunker A présent dans la ville de Twenty-One prêt de New-York (leur ville). Le plan était le suivant, gagner le Twenty-One, le bunker et y prendre place parmi les survivants. Rien ne devait clocher, les plans de Rings fonctionnait toujours et puis... Ils n'étaient pas n'importe qui. Rings père et Rings fils. Que pourraient-ils leur arrivé ? Pourtant rien ne se passa comme prévu. Tout vira de bord et pour la première fois depuis sa rencontre avec Rings, Allen fut impuissant. La tragédie s'était déroulée au beau milieu de Twenty-One, à a peine quelques centaine de mètres du Bunker. Alors que transportant armes et vivres, Rings et Allen s'était fait encercler par des hommes aux visages désespérés. Une petite dizaine, nombreuse, prêt à tout pour survivre. Dans leurs yeux ne se lisait que haine, envie, peur aussi. Le temps d'une respiration et la bataille s'engagea. Cette bataille, là aussi, tout devait bien s'y passer. Allen était confient, trop confient. Il était fort et il le serait bien plus dans quelques années. Rien n'y personne ne pourrait le battre c'était une certitude... Et pourtant. Un homme embusqué derrière une voiture qu'aucun des deux n'avaient vu pointa et tira. Le coup fut bref, assourdissant. Et avant que Allen ne puisse faire quoi que ce soit, Rings fut a terre et roué de coup. A partir de là... Allen hurla. --- Quand il reprit conscience de son environnement, chacun de ses agresseurs étaient à terre. Morts, vivants, il n'en savait rien. Rings était a terre, inconscient. Il ne bougeait pas. respirait-il même ? Il n'en savait rien. En silence, en refoulant ses larmes il traîna le corps. Un policier doit faire preuve de sang froid. Un policier doit être calme et doit faire face à n'importe quelle situation avec calme.. Se répéta-il tout le long du chemin. Ne pas craquer. Ne pas craquer. Je suis fort. Rings est fort. Nous somme fort. Je suis monsieur Loyal, je ne pleurait pas. Combien de temps dura ce chemin il ne su rien. Mais ce trajet jusqu'au bunker lui fut le plus difficile de sa courte vie. --- - Vous le soignerez n'est-ce pas ? répéta le jeune homme pour la quinzième fois - Nous ferons notre maximum. Mais... Pour prendre bien conscience de ses blessures nous devons attendre son réveil. - Et quand est-ce que ça arrivera ? - Ça... Je ne le sais pas. Dans tout les cas vous avez fait preuve d'un sacré sang froid, vous auriez de beaux jours devant vous chez les outsider. - Les outsiders, on dirait le nom d'une bande de héro - Ils en sont, en quelques sortes. Comment vous appelez vous ? - Moi ? il prit un grand sourire, ce même sourire de scène, autrefois Je suis monsieur Loyal ! Allen, aux premiers abords, c'est un clown, un vrai. Il parle fort, d'une façon très appuyée, comme ci il récitait un texte théâtrale. Il bouge et gesticule, fait de grands gestes peu naturels. Comme un bouffon il vol de table en table utilisant à outrance son agilité et sa souplesse légendaire pour impressionner la galerie. Il est joyeux, expressif. Malgré son look d'émo à deux balles. Vous le verrez souvent chanter, vous le verrez souvent lire. Malgré ses vingt ans beaucoup le voit comme un vrai gosse. Quand on ne le connait que de vu c'est un peu l'image qu'on a de lui : un gosse. Pourtant il est loin d'en être un. En vérité, il s'inquiète beaucoup de son paraître, de Rings, son père. Il veut en être sa digne image, il veut être fiable, créer des exploits. Il prend souvent les devants et fait toujours attention a véhiculé une image sûre et forte de lui. Il peu paraître un peu têtu et fonceur du dimanche de temps à autre. Égoïste et "je m'en fou m'sieur" aussi. Mais si vous brisez la glace du paraître vous le verrez plus fragile, en proie aux doutes. Vous le verrez perturbé, stressé. Pour pas mal de gens, Allen est une énigme, je pense même qu'il en est une pour lui aussi. Instable, drôle comme triste. Il est un peu comme une toile d'art abstrait. Il est quelque chose sans en avoir une forme commune. AH ET IL EST PANSEXUEL JEFJZMJFMZJFKE?FKZEF?ZEKF ! Voilà. Bisou. | RESOURCES UTILES EQUIPEMENT ARMES ET MUNITIONS CLIQUEZ SUR UN ELEMENT POUR VOIR SES STATS COMPETENCES |
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Niveau : Niv. 1
Espace inventaire : 0/12
Gilet Tactique : 
Composants électroniques : 
Sacs : 
Précision : ![Allen Rings [TERMINE] 1ZNHYzi](https://i.imgur.com/1ZNHYzi.png)
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Médicaments : 
Métal réutilisable : 
Objet Secondaire :
Equipement 1 : 
Equipement 2 :
Equipement 3 :
Equipement 4 :
Equipement 5 :
Equipement 6 :
Equipement 7 :
Equipement 8 :
Equipement 9 :
Equipement 10 :
Equipement 11 :
Equipement 12 :
Arme primaire en main : 
Mod : Skin :
Mod : Optique : 
Mod : Chargeur :
Mod : Bouche :
Arme au corps à corps : 
Arme secondaire en main :
Arme dans l'inventaire : 
Munitions 1 :
Munitions 2 :
Munitions 3 :
Competence 1 : 
Competence 2 : 
Competence 3 :
Compétence 4 :
Crédits avatar/images : Kirishima Touka/Tokyo Ghoul
Messages : 154
Sexe : 
Date d'inscription : 12/11/2016
Age : 27
Localisation : Entre quatre murs de béton... Mais je le vis bien.
Survivant du bunker
Ashly Nysltroom
Identité Personnage: Spécialité: Cuisinier Kirishima Touka/Tokyo Ghoul 15412/11/201627Entre quatre murs de béton... Mais je le vis bien. | Je me permet de t'éclairer sur ces deux points Charlie chérie. ♥ Commençons par le plus simple, les points de suture :
En gros, c'est une coquetterie purement esthétique qui date de la vie qu'a eu Allen au cirque des bois sombres. Quand tu vois un peu le type de cirque que c'est je te laisse imaginer qu'ils sont pas à ça prêt pour déguiser leurs artistes. Et si tu veux la raison du pourquoi il les gardent malgré le temps qui passe la voilà :)
J'suis d'accord sur le fait que ce n'est pas dit noir sur blanc mais bon, j'pensais que ça coulait de source. Je te rajoute deux trois mots si tu y tien. :/ Pour les yeux rouges : C'est un cas de ouf comme tu dis (j'y tien a mon regard de sanguinaire). Comme il porte des lentilles de contact... Des colorées.... En 2021 ça peut exister ? x) ( si ça n’existe pas déjà il me semble pas owo) Parce que si je peux valider ma fiche en ne rajoutant que quatre mot en tout et pour tout je suis preneuse. XD | RESOURCES UTILES EQUIPEMENT ARMES ET MUNITIONS CLIQUEZ SUR UN ELEMENT POUR VOIR SES STATS COMPETENCES Niv. 1 0/12 Kirishima Touka/Tokyo Ghoul 154 12/11/2016 27 Entre quatre murs de béton... Mais je le vis bien. |
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