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Invité

Vilain inside • PV Brittany J. Evans - Sam 24 Sep - 12:37

Vilain inside
ft. prince Elli ♥

« Non, je suis venu pour… Te faire la morale à propos de cette bouffe étoilée, faire de la prévention pour la drogue et faire la connaissance d'une femme. 'Parait que personne l'approcher sans récolter une castration gratuite. C'est vrai cette rumeur ? »

Brittany avait pu observer un rictus sur le visage d'Elliot, il semblait être sur le point de rire tout en énumérant son approche. En y repensant, c'est vrai que leur rencontre était quelque peu comique au vu de la situation. Elle avait joint ses mains sur la table face à elle tandis qu'elle ne cessait de le fixer.

Ce genre de rumeur circulait sur elle ? C'est vrai qu'elle avait menacé de castration plus d'une fois envers certaines personnes du bunker. En même temps, ils l'avaient cherché ! Et c'était bien dommage qu'elle n'avait pas pu lui mettre une droite à cet homme ce jour-là, malheureusement la violence était prohibée dans le bunker. Cependant si Elliot voulait voir si la rumeur était vrai, Brittany pouvait toujours y remédier.

“Cette rumeur est un peu exagérée à mon humble avis. C'est vrai que j'avais menacé des hommes de castration plus d'une fois, cependant c'était justifié. Ils m'avaient cherché les bougres…”

Britt s'était mis à regarder dans une autre direction tout en y réfléchissant un peu. Peu après, elle reporta son attention sur le jeune homme qui lui avait remarqué quelque chose dans la grande salle du réfectoire.

« Je dois y aller. On se voit à l'entraînement. Si t'as oublié ma tête et mon nom d'ici là, je serai le gars qui se paie des murs en testant ses rollers. »

Après s’être levait, Elliot lui avait fait un signe de la main tout en se dirigeant vers un autre homme qui se trouvait à quelques tables plus loin. Brittany avait juste fait un petit hochement de la tête avant qu’il ne partait rejoindre son ami. Du moins si c’était le cas.

Un gars qui se mangeait des murs tout en testant ses rollers hein ? Britt se mordait discrètement l’intérieur de sa joue pour ne pas rire en y pensant. Elle imaginait très bien le pauvre gars qui était en train de se payer un mur dans la salle d'entraînement. Cela devait être comique.

La jeune femme avait regardé l’heure sur le cadran de la petite horloge sur le mur face à elle. Le temps avait vite passé ! Britt s’était dépêchée de finir son assiette, il était interdit de le rendre plein, avant d’aller rendre son plateau pour ensuite retourner à ses occupations. Maintenant qu’elle verrait Elliot, elle savait comment réagir face à lui.
Ou peut-être pas.
{#}Niko{/#}

C'est en enfer que le paradis resplendit (suite) - Sam 24 Sep - 10:30


  

      
  

  
Il semblait que la jeune Blanche allait bien mieux. Ces jeunes, la seule chose dont ils avaient réellement besoin dans des temps aussi durs que ceux qui s'abattaient sur le monde, c'était la présence réconfortante d'un substitut du père. Vu que la grande majorité des humains vivaient dans des sociétés patriarcales, ce n'était pas si étonnant que cela. Et même si Brian ne l'aurait pas formulé ainsi, il en avait parfaitement conscience.

Écoute gamine, j'ai pas compris un traître mot de ce que tu viens de dire. T'iras parler aux hackers, j'pense que vous vous entendrez bien. Par contre, si, il y a bien une chose que je peux t'assurer. Laisse l'intercom dans son état. Je crois même que j'irai le détruire moi-même, question de sécurité. J'ai déjà dû faire face à des faux appels à l'aide et les pertes qui en suivirent furent bien trop élevées. La compassion, ce qui fait que nous sommes humains, est trop facilement manipulable. C'est pourquoi j'ai préféré m'assurer que tu n'est pas une sorte de cadeau empoisonné.

Malgré tout, Big Daddy était toujours aussi énervé. Depuis qu'il avait accueilli la nouvelle venue, personne d'autre qu'un outsider n'était venu. Collins allait l'avoir sur le dos, c'était certain. Et n'ayant pas eu l'occasion de retourner dans son bureau, il ne pouvait pas non plus coucher les informations concernant l'albinos de façon précise. Il faudrait se contenter d'une simples notes. C'était toujours mieux que rien, mais avoir un dossier complet aurait été préférable. En fait, pour Brian, beaucoup de choses auraient été préférable et cela commençait par le fait que quelqu'un d'autre serait parti chercher la jeune femme.

Il arrêta de ruminer intérieurement quand une seconde personne se montra. Enfin un membre du personnel médical. Quoi qu'à bien y regarder, c'était une outsider, mais quand même, durant leur temps libre, ceux ayant le rôle médecins aidaient le personnel régulier. Comme étant réveillé, ou bien piqué par on ne sait quoi de gros, Brian se leva et se prépara à déverser tout ce qui pesait sur son mental depuis quelques heures maintenant.

Faire comme si tu n'étais pas là ? Excellente blague. Tu sais combien de temps j'attends qu'un foutu médecin se pointe ici ? Je sais que ce n'est pas ton rôle premier, mais où sont tes foutus collègues ? C'est pas croyable, absolument catastrophique. Quelle image donne-t-on à cette nouvelle ? Vous n'y avez évidemment pas pensé. Non, la seule chose qui t'intéresse c'est de savoir si c'est moi qui ai marqué se peau. Oui, je l'ai fait, et alors ? Simple mesure de sécurité. Et pour peu, c'est un cadavre que j'aurais claqué dans un lit juste pour signaler à quel point tout va mal ici. Bordel, j'ai l'impression de devoir faire le travail de tous les hauts-gradés depuis que j'ai été promu. J'ai pas que ça à foutre de mes journées !

Sans même s'en rendre compte, il avait pris De-Anh par le col et l'avait soulevée à sa hauteur tout en la secouant. Pour en avoir ras le bol, Big Daddy en avait vraiment trop. Il finit tout de même par déposer la seule personne capable de le faire sortir d'ici avec beaucoup de délicatesse pour un homme avec un gabarit tel que lui.

Et voilà que je m'emporte. Fais ton boulot que je puisse retourner dans mon bureau le plus vite possible, je dois aller chercher quelques affaires avant de reprendre ma surveillance.
  

Invité

Solitude négligée - Ben Owens - Mer 21 Sep - 18:34

L'art. Ça n'avait jamais été quelque chose qui passionnait Ben, il n'avait pas vraiment eu le temps pour ça. Quoique. On trouve toujours le temps pour ce qui nous passionne, alors s'il avait choisi de faire d'autres choses, cela signifiait sans aucun doute que ce n'était pas son truc. Il aimait lire ou regarder un bon film, mais l'art s'arrêtait à ça pour lui. Maggie, c'était elle la passionnée. En tant que conservatrice au musée, elle aurait pu discuter des heures sur les peintures, sculptures et antiquités diverses que contenait le musée. Ben n'en avait cependant pas retenu grand-chose, honte à lui.

Maintenant, peut-être que l'art devenait important, quelque chose de nécessaire pour embellir le quotidien des survivants, leur montrer que tout n'était pas perdu et que si l'art survivait, alors ils le pourraient également. Cependant, à part des dessins au stylo sur un bout de papier, l'art pourrait difficilement s'exprimer. Le matériel pour peindre ou dessiner n'était franchement pas une priorité, encore moins le temps à y consacrer. Mais peut-être que si nous ne perdions pas de vue l'art, alors à l'avenir il pourrait y avoir des opportunités pour pouvoir l'exprimer à nouveau et toucher le monde.

Ben ne fit pas de commentaire sur les paroles sur les pensées de Liz et ne répondit qu'à sa question.

- Non, ça ne m'a jamais attiré particulièrement. Mais ma femme était férue d'art, elle était conservatrice de musée, si elle était là, elle aurait été ravie d'en discuter avec vous, de l'art en général comme de n'importe quelle partie.

Ben repensa à la fois où il avait vu Maggie pleurer devant un tableau. Il en était resté coi : le tableau représentait la fonte de glaces sur une montagne sous un beau ciel bleu ensoleillé. Il avait questionné sa femme et elle lui avait parlé de temps qui passe et que rien n'arrête. Évidemment, il n'avait rien vu de tout ça, pour lui ce n'était qu'un beau tableau comme il en existait tant d'autres. Il ne lui avait pas répondu ça cependant et s'était contenté de la serrer contre lui. Bien souvent, les actes valaient plus que les mots.

- Je suis d'accord avec vous, finit-il par dire. Je n'y connais certes pas grand-chose, mais quand je vois le malheur autour de moi, je pense qu'il serait bon de voir de belles choses. Et d'en créer de nouvelles. Ne comptez juste pas sur moi pour ça.

Il rit à sa plaisanterie et en s'entendant, il se dit que tout n'était peut-être pas perdu si on réussissait encore à rire. Espoir, sa flamme intérieure serait forte.

Il regarda une nouvelle fois le papier chiffonné et eut une idée pour Liz.

- Dites, si vous êtes intéressé par l'art, vous devriez trouver quelqu'un qui s'y connaît ici, sur le nombre, ça devrait être possible. Choisissez le dessin, l'écriture ou n'importe quoi qui vous motiverait et apprenez ! Je pense que nous devrions tous avoir des objectifs personnels, c'est ce qui nous maintiendra à flot. Qu'en dites-vous ? Je suivrai votre progression et veillerai à ce que vous n'abandonniez pas.

Il lui sourit de manière chaleureuse et enjouée, espérant lui transmettre un peu de bonne humeur et de motivation.
{#}Niko{/#}

Invité

Solitude négligée - Ben Owens - Lun 19 Sep - 19:51


Le regard de Ben se troubla. L’homme répéta la question comme si l’écho chantait jusqu’au tréfonds de son âme. Un abysse d’une solitude là où jadis avait certainement niché l’amour et le partage. La sueur vint perler sur ses tempes et bientôt il se dressa sur ses jambes et se promena nerveusement entre les allées de sièges vides. À cette vision, Liz s’en voulut. Pourquoi ne pouvait-elle pas simplement parler de l’odeur des douches ou des cafards qui s’y cachaient ? Le vaillant medecin s’était brisé en un rien de temps, comme si chacun des réfugiés avait un passé capable de leur briser le coeur en une fraction de seconde. Le tourment avait donc cette mélodie de verre brisé, cette couleur embrumée et ce parfum de regret.

Le spectacle avait profondément secoué Liz. Coupable, elle entendait ses propres fantômes dans les pensées que l’homme chassait. Quelques instants plus tard, elle retrouva son regard, il avait gagné son combat avec lui-même et revenait, calme et rassurant. Liz l’entendit se proposer à son service. La femme eut un pincement au coeur. Personne ne s’était inquiété d’elle depuis son réveil ici-bàs, mais ce n’était pas là la source de son tiraillement. Est-ce qu’il cherchait une cause parmi toutes à sauver, pour se sauver lui-même ou était-ce le médecin qui ne savait exister qu’au travers de la gratitude des autres ?

Elle s’obligea à ne pas se perdre dans son raisonnement. Cet homme ne pouvait pas la connaître, il ne pouvait donc pas avoir envie de prendre soin d’elle. Le médecin s’occupait de l’équilibre des habitants, voilà tout. Elle lui tapota la main en signe de remerciement et de complaisance polie. Il comprendrait qu’elle n’en attendrait pas autant de lui. Ben jeta un œil sur la feuille chiffonnée et la questionna. Liz répondit en un petit rire navré.

-Je me cherchais un talent. Il n’y a pas tellement de place pour s’exprimer et… je ne sais pas dessiner alors… je me suis dit que j’arriverais peut-être à écrire. Elle introduisit la suite d’une petit rire fin et plus convaincu. Malheureusement, on ne s’invente pas maître des mots non plus. Il n’y a pas beaucoup de place pour l’art ici. Pourtant ça ne m’est jamais apparu aussi vital que maintenant. C’est dérisoire et pourtant c’est comme si grâce à ça, on pouvait maintenir notre esprit.. dans le bon sens.

Elle regarda son interlocuteur avec une méfiance amusée.

-Je dois paraître un peu étrange, mais je ne sais pas, à force de tourner en rond, on a besoin d’horizon et jamais je n'aurais cru que l’art deviendrait aussi important. Vous avez une fibre artistique ? Vous pratiquiez quelque chose… avant ?
{#}Niko{/#}

Nikolaï Raxx

Tête brûlée et Défi - Ven 16 Sep - 18:48

Tête brulée et Défi
ft. Mills Koch


Après s'être libéré de mon emprise, elle tentait de m’asséner un coup de crosse dans mon estomac, que je parai avec mon propre couteau. Je voulu la faire rouler au sol avec un puissant coup de pied retourné, mais elle l'évita et poussa mon pied vers le haut pour me déséquilibrer. Alors que je m'étalais de tout mon long sur le sol, elle attrapait mon poignet et me faisait une clé de bras. Puis, profitant de mon immobilisation, elle murmura :
« Je t'avais bien dit que ton coup de pied était de biais. »
Je grommelai, lâchai mon couteau, et forçai de mon autre main son muscle extenseur des doigts (HRP : uiui, c'comme ça que ça s'appelle) à faire lâcher à la main de Mills son emprise sur mon poignet. Je tournai mes mains et attrapai ses épaules pour la projeter sur le dos et libérer le miens pour pouvoir me relever. Je m’asseyais en tailleur sur le tatami et elle vint me dire d'un air moqueur après s'être relevé :
« T'as perdu le ruskof ! »
Je me mis à son niveau et lui dis sur un ton cinglant :
« Accordes-moi une revanche. »
Je voulais effacer ce sourire de ce visage trop moqueur. Mais bon... Je l'aimais bien cette Allemande.

Et t'oses appeler ça de la bouffe ?! | ft. Liz Harvey & William L. Blacklock - Ven 16 Sep - 18:34


   
Et t'oses appeler ça de la bouffe ?!

   
ft. Liz Harvey & William L. Blacklock

   

       
   

   
Les premiers mots qui s'échappèrent de la bouche de la cuisinière firent froncer les sourcils de Brian. Bien qu'il ne soit pas au courant de tout ce qu'il se passait, car après tout, il avait son propre département à gérer et les autres hauts-gradés les leurs, il commençait à sérieusement se poser des questions quand à ce qu'ils faisaient durant leurs journées. Il finissait par croire que mis à part Collins, Chester et lui-même, aucune des têtes dirigeante ne se bougeait le cul... Et ça, en plus de l’exaspérer et lui donner du travail supplémentaire, le forçait à s'enquérir de situations qui, si les choses fonctionnaient bien, n'auraient jamais dû être mises en relation avec lui.

Dans l'immédiat, ce qu'il se passait en cuisines aurait normalement dû être géré par le département scientifique uniquement, mais vu que Brian était directement concerné par ce qu'il mangeait... Il finit donc d'écouter Liz tout en réfléchissant à comment il pourrait accélérer le processus. Il y avait bien un magasin plus au nord, peut-être qu'il y restait encore des choses à manger. Y envoyer deux escouades ne serait pas de trop.

Écoute ma jolie, t'as bien fait de venir m'en parler. Pour le coup, je vais aussi te dire quelque chose qui ne doit pas être su : j'ai pas confiance dans les autres haut-gradés. Il n'y a que Collins qui fait son boulot bien qu'il récompense son fils de trop et le Président en qui j'ai une confiance presque aveugle. Pour le reste, plus vite ils seront rétrogradés, mieux j'm'en porterai.

Ça c'était sorti. Pour le coup, Big Daddy s'en sentait plus tranquille, bien que la situation, se dégradant de jour en jour, pesait sur son esprit bien plus qu'il ne se l'avouait.

J'irai forcer la main des scientifiques pour qu'ils passent l'inspection de nos denrées alimentaires en priorité, quitte à ce que je me fasse encore engueuler, autant que ce soit pour la bonne cause. Et pour la viande, c'est très grave et je ne peux rien y faire. Cependant, j'ai une idée qui pourrait nous donner un peu de mou à tous. Et c'est là où toi, William, tu pourras être utile. Considère ça comme un paiement pour la dame.

Brian plaça ensuite la main sur l'épaule de Liz dans un geste purement paternel.

À l'avenir, si t'as encore un problème, passe directement par moi. Et si tes supérieurs essaient de te cacher des choses, envoie-les dans mon bureau, je m'en occuperai personnellement. Sur ce, garde la tête haute et ne flanche pas devant plus grand que toi. T'es encore en vie et en parfaite santé. Si t'as rien d'autre à ajouter, file-moi de quoi nettoyer et je me chargerai de ce que j'ai mis au sol.
   

Invité

Solitude négligée - Ben Owens - Jeu 15 Sep - 22:06

Elle lui serra la main. Elle avait l'air gentille et compréhensive et Ben s'en voulut d'avoir commencé par lui faire la leçon. Mais il avait deux enfants -ou avait eu... - et c'était devenu un réflexe : "range ta chambre", "ne laisse pas traîner tes affaires n'importe où", "est-ce à votre mère et moi de ranger votre bazar ?"... Tout cela semblait si futile désormais, il aurait préféré rire et s'amuser avec eux à la place.

La femme lui sourit et il la vit vraiment pour la première fois : c'était une belle femme, jeune et... elle ne semblait pas plus heureuse que les autres d'être ici. Mais comment quiconque pouvait l'être. Quelle était son histoire ? Qui avait-t-elle perdu ? Ses parents ? Des frères, des sœurs ? Un enfant peut-être, ou l'amour de sa vie. Personne n'était entier ici, nous avions tous perdu une part de nous-même. Les plus chanceux. Les autres s'étaient sans doute perdus eux-même, peut-être sans retour possible. Il n'avait pas entendu parler de suicide encore, mais qu'il y en eut ou pas, cela viendrait de toute façon.

Liz. Il avait connu une Liz à l'université. Une pimbêche de premier ordre qu'il n'avait jamais apprécié. La Liz qu'il avait devant les yeux lui semblait totalement différente, tant physiquement que dans sa façon d'être. Elle semblait plus simple, plus humaine. Maintenant qu'il y repensait, il lui semblait l'avoir déjà croisée, mais ils ne s'étaient pas adressé la parole, même pas un simple "bonjour". Lui-même avait vécu une entrée difficile dans le bunker. Passée toute l'ardeur à rejoindre New York pour retrouver sa famille, il n'avait plus eu la force que d'entretenir sa petite flamme intérieure qui le maintenait sur le fil, les autres n'avaient pas d'importance. Désormais, sa flamme était devenu un feu, difficile à entretenir, mais qui lui donnait de la force et il pouvait voir. Et il voyait la femme qui se trouvait devant lui.

Il s'assit sur le siège à côté d'elle suite à son invitation. Il n'avait pas relevé la blague douteuse sur la cuisine. Personne ne s'extasiait devant les plateaux que les cuisiniers remplissaient de... Il ne trouva pas de mots pour qualifier la nourriture d'ici. C'était se nourrir pour se nourrir. Le plaisir avait quitté bien des choses à présent. Mais peut-être pas encore cette salle. Elle avait raison. On pouvait s'abandonner ici, ne plus penser au monde, à sa vie, et simplement se laisser aller à en imaginer un autre. Il n'y avait peut-être pas souvent de projections, mais il suffisait de fermer les yeux - Ben ferma les siens - et alors nous étions projetés nous-même dans un autre monde, un à notre image. Il imagina une femme allongée sur le dos dans l'herbe, sous un ciel bleu laissant toute la place au soleil pour briller et éclairer la scène. La femme jouait avec une fleur qu'elle tenait dans les mains, elle souriait et rien au monde ne pouvait lui ôter. Ben rouvrit les yeux et sourit. Cet amphithéâtre était à défendre de toutes ses forces et de tout son cœur, c'était le dernier bastion des rêves et ça n'avait pas de prix dans ce monde désolé.

- Qui... s'occupe... de moi ?

Cette question le bouleversa et anéantit tout le bien-être apporté par ses derniers songes. Il pensa à sa femme qui avait toujours été là pour lui, pleine d'amour. Son cœur battait la chamade. Il pensa à sa sœur qui l'avait élevé, qui avait tant sacrifié pour lui. Il avait très chaud. Il pensa à son père qui lui avait transmis sa passion pour la médecine et grâce à qui il était devenu l'homme qu'il était aujourd'hui. Sa respiration était saccadée. Il pensa à ses enfants qui lui apportaient du bonheur à chacun de leur sourire. Son cœur l'élançait. Il n'avait pas su retrouver sa femme, sa sœur était morte sans qu'il ne lui ai jamais dit merci, il avait abandonné son père en partant à New York et il n'était pas là pour protéger et rassurer ses enfants. Il se leva subitement et se mit à faire les 100 pas dans l'allée en respirant profondément. Il avait les yeux humides. Il ne voyait de toute façon plus ce qui l'entourait, il se concentrait uniquement sur sa flamme intérieure qu'il ravivait pour qu'elle ne s'éteigne pas.

Il mit un peu de temps à retrouver son calme. Il avait l'impression d'avoir couru pendant des heures. Quand il fut prêt, il s'excusa une nouvelle fois auprès de Liz.

-Nous avons tous nos démons. Je ne sais pas pour les autres, mais pour ma part, personne ne doit s'occuper de moi, bien au contraire, c'est à moi de m'occuper de vous.

Il n'ajouta rien. Son feu brûlait, il n'était pas question de le mettre en péril à nouveau. Il se rappela où il était. Cet endroit était pour les rêves, il n'avait pas le droit d'amener ici le monde extérieur et ses souffrances. Ici c'était celui de tous les espoirs, des songes et de l'abandon. Une femme, un ciel bleu, un sourire. Il changea de conversation.

- Que faisiez-vous avec le papier, vous dessiniez ? Pourquoi l'avoir jeté ?
{#}Niko{/#}
HRP : défi relevé, c'était inspirant, à tel point que j'ai écrit d'une traite sans aucun soucis ! J'espère ne pas avoir été trop radin en retour ;)

Et t'oses appeler ça de la bouffe ?! | ft. Liz Harvey & William L. Blacklock - Jeu 15 Sep - 17:29


Contrairement à ce qu’elle avait cru, la montagne semblait plus humaine qu’il n’y paraissait. Brian avait baissé le ton. Il exclut pourtant la remarque de l’outsider, mais ce dernier avait raison. Peut-être avait-il compris au travers des efforts de la femme qu’il n’avait pas tous les éléments aussi, elle fut satisfaite de voir au travers de son clin d’oeil qu’il ne l’humilierait pas plus longtemps en public. S’il était chargé de toute la sécurité c’est qu’il n’était pas qu’un tas de muscles non, il avait bien plus de jugeote.

Liz releva le plan de travail qui barrait le chemin avec le coin de service. Une fois dans la cuisine, elle se posa contre un des larges éviers pour faire face à ses interlocuteurs. Elle observa un instant ses pieds comme pour prendre un minute pour elle et bien mesurer ce qu’elle avait le droit de révéler. L’homme qui avait ouvert la bouche avait les mains bordées de saletés incrustées, il devait travailler en mécanique ou un autre poste manuel.

-Il manque des choses oui, on nous a demandé de changer les procédures de nettoyage, tout doit être stérilisé régulièrement. Ils sont partis au laboratoire pour vérifier qu’il n’y ait pas… de souches dangereuses.

Elle regarda le haut-gradé et se mordit les lèvres avant de parler.

-L’eau, une fois chauffée dégage une drôle d’odeur, elle donne du goût aux aliments et…

Elle se dirigea vers la réserve de nourriture. Elle déverrouilla la porte dont seuls quelques employés avaient la clef et la tira avec un peu de mal tant elle était lourde.

-Nous n’avons plus de viandes. Les stocks ont été détruits, par une moisissure… ou je ne sais trop quoi. Pourtant la congélation est rigoureuse et même si une panne électrique se fait, un générateur est dédié aux réserves. On avait cinq grands conteneurs qui représentaient environ trois mois de viandes. Mais il y a deux semaines, on a découvert en cuisinant que ce n’était plus consommable.

Elle attrapa quelques citrons et les lança à l’outsider.

-Pour ta limonade, mon chou.

Elle se tourna vers Brian, se doutant de la terrible annonce qu’elle lui avait faite.

-Les scientifiques nous ont dit que pour l’eau il n’y avait pas de problème, alors on l’utilise. J’imagine que lorsqu’ils sauront quoi faire… on enverra des missions pour remplir les frigos. Dans tous les cas, vous ne devez rien répéter. C’est fondamental pour la sécurité que rien ne filtre.

{#}Niko{/#}

Invité

Solitude négligée - Ben Owens - Jeu 15 Sep - 16:46


L’homme s’était levé, dévoilant un physique plutôt costaud. Il tendit le projectile à Liz, avachie sur son siège et les jambes allongées sur les sièges inférieurs, se redressa un tant soit peu pour ne paraître plus pathétique qu’elle ne l’était. Elle récupéra son bien et resserra davantage la boule de papier s’amusant à la faire chanter de son froissement au creux de son poing. L’homme fit demi-tour et elle s’agaça intérieurement qu’il n’y ait pas d’espace pour s’étendre et pour mettre un bazar monstre si elle en avait envie. Elle n’avait jamais été du genre à laisser ses restes de pique-nique sur une aire de détente mais ici, ce cadre était miteux, pourquoi ne participerait-elle pas à sa perdition ?

Elle souffla, c’était bête. Bien-sûr qu’elle n’aimerait pas que le bordel des autres jonchent son peu d’espace vital. Il avait parlé avec raison, heureusement qu’il ne perdait pas tous la tête. L’homme fit brusquement demi-tour et s’excusa avant de se présenter et de lui adresser une main amicale. Surprise par la tournure des choses, Liz se crispa, récupéra ses jambes comme si elles n’avaient pas été encombrantes et lui rendit son geste, en renouant avec un brin de convivialité.

-Euh.. C’est moi. À force d’espérer ne pas être ici, j’en oublie les bases de la vie à plusieurs…

Elle lui adressa un grand sourire, cette fois-ci sincèrement détendu, balayant l’image de la loque qu’elle avait pu incarner.

-Liz, Liz Harvey, Compartiment d’à côté, le 14, je travaille en cuisine. Les derniers repas merveilleux, ce sont les miens.

Elle souligna sa dernière affirmation d’une petite grimace pour marquer son ironie. Liz invita l’homme à prendre place à ses côtés.

-J’aime bien venir ici. Ils n’ont pas encore trouvé de nouveaux films à diffuser alors… ça reste l’endroit le plus « spacieux » et qui fait un peu oublier l’état des choses…

Elle contempla la scène un instant, rêvant d’y voir des représentations variées.

-Médecin d’escouade… entre mec super entraîné et sauveur des gars tombés sur le terrain… Je ne sais pas si j’envie votre fonction. Vous êtes indispensable mais qui s’occupe de vous ?

{#}Niko{/#}


HRP: Mon défi sera de tenter de te donner de quoi répondre mais fais comme tu le sens et comme tu le veux!

C'est en enfer que le paradis resplendit (suite) - Mer 14 Sep - 22:26


  

      
  

  
Toujours aussi atypique l'albinos. Au moins, elle avait fini par arrêter le flux intempestif de paroles qui sortaient de sa bouche. Et même si cela relevait d'un avantage certain, Brian ne supportait pas avoir un "enfant" triste près de lui. Ça lui faisait rappeler sa propre enfance et, trop souvent, le mettait hors de lui. Pour autant, il gardait son tout relatif calme et prit la peine de répondre à Wayne qui s'était permis, au vu de la situation, de prendre un ton trop familier pour être totalement acceptable.

Pas la peine d'en rajouter une couche non plus.

Il écouta ensuite tout ce que l'outsider avait à dire. Apparemment, il aurait encore beaucoup de travail à effectuer le lendemain et n'aurait pas beaucoup d'heures de sommeil à cause de la nouvelle venue. Pour autant, il tenait à ce que pour une fois, une seule et unique fois, les choses soient menées à bien en sa présence. Et c'est pourquoi, de façon totalement arbitraire, Brian avait décidé qu'il resterait dans les parages pour superviser les opération, dut-il faire nuit blanche pour cela.

Oublie le rapport, je me charge personnellement de son cas. J'en ai plus qu'assez de voir que dès que j'ai le dos tourné, c'est la fête du slip. L'intercom, d'aussi loin que je me rappelle, n'a jamais été mis en état de fonctionnement et c'est pas plus mal. Pour le générateur, j'irai voir ce qu'il en est demain et on parlera de ton escouade quand j'aurai du temps libre ce qui n'est, comme tu peux le voir et bien malgré moi, pas le cas. Quand à savoir si oui ou non j'ai traumatisé la gamine, essaie de te souvenir qu'on ne m'appelle pas Big Daddy pour rien.

Tout était dit, et pourtant le haut-gradé avait le sentiment d'avoir oublié quelque chose. C'est quand il se rendit compte que le silence s'était installé qu'il s'en souvint. L'albinos ne semblait pas dans son assiette. Et quitte à devoir la faire intégrer le bunker, alors autant s'assurer qu'elle soit en meilleure condition possible. Tant pis pour le mal de crâne, il faudrait s'en accommoder. Comme pour prouver à Wayne ses paroles précédentes, Brian fit un geste qui, d'après ce que la grande majorité des gens vivant sous terre était antonymique à sa personne : il prit Blanche dans ses bras comme un père le ferait avec sa fille et lui chuchota à l'oreille.

T'en fais pas gamine, le cauchemar est passé. À partir de maintenant, je peux te garantir que t'es en sécurité, alors pleure toutes les larmes de ton corps et recommence à me donner la migraine, d'accord ?

C'était un jour à se souvenir pour les années à venir, surtout quand on ne faisait pas partie du gang de Big Daddy. Les seules fois où il avait fait preuve d'autant de compassion étaient en présence d'enfants ayant subi des atrocités à cause du trafic de mineurs qui était en place à Camden. Peu de temps après, il s'était assuré qu'il soit définitivement démantelé et avait lui-même organisé une chasse à la sorcière de tous les pédophiles présents dans les environs. Des jours sanglants qui ont marqué le début d'une nouvelle ère. Brian avait beau être un ours, il avait l'âme d'un véritable père.
  

Invité

Solitude négligée - Ben Owens - Mer 14 Sep - 21:28


 
Un nouvel ordre de mission était apparu. Ben avait accouru voir si son escouade était concernée : "Escouades Delta & Hotel". Son excitation était retombée d'un coup. Il venait de rejoindre une escouade et avait hâte de sortir. À son arrivée ici, on lui avait demandé ce qu'il savait faire. En tant que vétérinaire et fils de médecin, ils l'avaient bombardé médecin sans plus de questions. Cela ne le dérangeait pas plus que ça, il était finalement devenu ce qu'il avait initialement prévu de devenir (bien que dans un contexte qui n'aurait pas pu être plus différent que celui-ci). Puis après avoir pris un peu ses marques, il avait découvert plus précisément les Outsiders, qui ils étaient et ce qu'ils faisaient. Sortir du bunker ? S'il voulait avoir une chance de retrouver sa famille un jour, ce serait la meilleure occasion qui lui serait donnée. Il s'était donc renseigné et avait entrepris les démarches nécessaires pour changer de fonction au sein du bunker. Et le voici devenu Outsider médecin au sein de l'escouade Golf.

Ben sourit intérieurement. Toute cette organisation pour survivre. Mais survivre pour quoi ? La vie valait-elle tant d'efforts et de souffrances ? Il ne connaissait pas la réponse, mais malgré tout, il se battait encore pour la vie de sa famille. Au fond de son cœur, il ne croyait pas sincèrement qu'il réussirait à retrouver sa famille - sans aller jusqu'à penser qu'elle n'avait pas survécu, cette pensée seule suffirait à l'anéantir - mais il refusait d'abandonner et il saisirait toutes les occasions qui se présenteraient à lui si elles avaient la moindre chance de l'aider dans sa quête. C'était son devoir de père et de mari et peut-être la dernière chose qu'il ferait de sa vie. Il allait s'impliquer sérieusement dans tout ça, pensa-t-il en regardant autour de lui, contre ce que le bunker et toute cette organisation lui offraient : une vie, de l'espoir et des opportunités.

Il soupira. Il se mit à faire des exercices de respiration pour s'apaiser. Il prit conscience de ce qui l'entourait, du siège sur lequel il était assis, de l'endroit où il était. Il avait eu besoin de réfléchir et c'était ici, tout naturellement, qu'il était venu s'asseoir. Un amphithéâtre ! La pensée l'amusa. Il aurait souhaité être là le jour où l'architecte avait dessiné les plans du bunker. Qui sait, il était peut-être fan de cinéma ou de théâtre et c'était la première pièce à laquelle il avait pensé et qu'il avait dessinée... Quand tout allait bien, on pouvait se permettre de rêver. Aujourd'hui, personne ne songerait à construire un amphithéâtre dans un bunker. Mais tant mieux, qu'ils en profitent, si cela leur permettait de s'évader de temps en temps, alors cette pièce était un sanctuaire qu'il fallait protéger à tout prix. Et puis...

Il sentit quelque chose le toucher et perdit le fil de ses pensées. Un "désolée" interrogatif, féminin, vint de derrière lui. Il vit au sol une boule de papier et comprit ce qui venait de se passer. Ben se leva et ramassa le papier. Il se retourna pour voir qui l'avait lancé et remarqua tout de suite son expéditrice, la seule femme proche de lui et qui le regardait. Il ne l'étudia pas, ne remarqua même pas sa beauté ou son attrait pourtant visible pour le noir, se contentant de s'approcher d'elle. Arrivé à sa hauteur, il lui tendit la boule de papier et lui murmura à travers un sourire qui n'effaçait pas la tristesse de son regard :

- Je pense que ceci vous appartient. Vous devriez faire plus attention aux affaires qui vous appartiennent, nous ne pouvons pas nous permettre de les égarer n'importe où.

Il repartait déjà quand il s'arrêta net. Il se fustigeait intérieurement pour son manque de sympathie. Après tout, ils étaient tous dans la même galère et il devrait être plus compréhensif. Il se retourna donc vers la femme.

- Excusez-moi. Je m'appelle Ben, Ben Owens, compartiment 15. Je suis médecin dans l'escouade Golf.

Il lui tendit la main avec un sourire sincère.

{#}Niko{/#}


HRP : en premier rp, j'ai dû introduire mon personnage dans l'histoire, mais je ne pourrai sans doute pas faire aussi long par la suite du coup.

Une façon de se défouler. | Ft Brian Vayne & Morgan Connor - Mer 14 Sep - 13:41


  
Une façon de se défouler

  
ft. mon soleil et un partenaire

  

      
  

  
Malgré un premier contact plutôt unique, j'avais fini par trouver une personne qui, même si elle n'était pas mon amie, et bien que représentant une caste au sein du bunker que j'avais du mal à apprécier, avait fini par devenir mon partenaire de sport. Les entraîneurs, jusqu'à présent, ne parvenaient pas à me donner un challenge suffisamment compliqué et je sentais que je stagnais. Heureusement que cette personne m'avait proposé un combat amical ou bien il aurait fallu que je me décide à aller écrire une lettre de plainte. Cette personne n'était ni plus ni moins que celui qui se faisait surnommer Big Daddy. En plus d'être très critiqué, beaucoup de personnes semblent le détester. Il est vrai qu'il est franc, qu'il dit des choses qui dérangent et qu'il agit toujours de façon brutale, mais au fond, c'est une personne tout à fait respectable, même en considérant son passé. Sur certains aspects, il me fait penser à mon père, pour d'autres, il me ressemble un peu. Dans tous les cas, nous nous accordons pour dire que certaines choses établies dans le bunker doivent changer et que plus vite cela sera fait, meilleures seront nos chances de survie. La preuve la plus flagrante de notre accord vient du fait que malgré mon aversion la plus totale pour les hauts-gradés qui, soit dit en passant, ont monté de toute pièce l'escouade Alpha suite aux demandes de l'un des leurs, j'ai fini par entretenir une bonne relation avec le plus récemment nommé d'entre eux car lui, au moins, avait eu la décence d'avouer que cette escouade était une erreur qui coûterait certainement cher à être réparée.

Aujourd'hui, nous nous étions retrouvés, Brian et moi, à la salle d'entraînement pour une joute amicale. En plus d'avoir le mérite de me forcer à dépasser mes limites je sentais que je progressais de façon régulière. Et bien qu'au final je n'essuyais que des échecs, je savais qu'en continuant je finirai par le battre, la preuve étant la difficulté grandissante qu'il éprouvait pour m'avoir. Ce combat fini, nous prîmes une rapide pause et à ce moment là, je la vis : Eleonor. Ça faisait un moment que nous ne nous étions plus croisés et ne m'ayant toujours pas donné sa réponse, j'avais attendu. La voir ici, en plus de me faire ressentir une immense joie, m'indisposait. Même si je ne faisais pas attention à tout ce qui se disait sur Brian, j'avais peur que sa simple présence ne donne aux évènements une tournure assez délicates. Mais il n'en fut rien, au contraire même, c'est lui qui me poussa à aller la rejoindre.

Vas-y, on a bien bossé ce matin et puis je suis pas non plus un tyran. J'savais pas que tu t'étais trouvé une copine. Au moins, j'peux dire que tu sais choisir, c'est pas une pleurnicheuse celle-là !

Euh... ouais, si on veut. Je reviens.

Je partis donc vers la norvégienne en me sentant un peu "étrange", comme ne sachant pas sur quel pied danser. Dans ces cas là, rester naturel était ce qui m'avait le plus réussi.

Salut ! Je ne m'attendais pas à te voir ici... Tout va bien depuis la dernière fois ?
{#}Niko{/#}


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